Les tourments prennent le dessus.
Noir ou blanc.
Des pensées instables.
Et ça revient toujours.
T'es pas là, t'écris pas, j'existe pas.
Et ça cogite dans mon esprit, ça m'étrangle, ça m'empoigne.
Un méli-mélo d'idées, un trop plein d'imagination.
Toi tu te rends pas compte, et puis tu t'en fou.
Excédée d'inquiétude, éreintée de jalousie ou morte dans un fossé.
Y'a des jours comme ça... Des nuits aussi.
Y'a pas qu'la jolie face de la passion, y'a aussi celle qui te pourrit la vie.
Et on espère toujours que ça ne durera pas longtemps.
Et que ça n'ait même jamais existé.