Que quoiqu'il arrive, il y aura toujours un dénouement.
J'me ronge déjà plus les ongles, c'est pas si mal.
J'y vois pas très clair dans tout ça.
J'préfèrai monter sur une bicyclette et pédaler, même si ce serait pas très droit.
Y'aurait de l'alcool et puis toi.
Ça me rend heureuse de t'inventer sur un vélo, à mes cotés, crier comme deux soûlards et flâner au bord de l'eau.
Ça me rend heureuse quand je me fabrique des images de toi, pour combler le manque de tes sourires.
Ça me rend heureuse d'imaginer, pour ne pas penser au reste.
Alors je préfère penser au vélo... A ses roues qui tournent et nos voix qui révolutionnent le monde.