Et que le froid balaie les mauvais coups.
Les étendues blanches, intactes, immaculées. Les arbres trop lourds, que l'on arrive à personnifier.
J'veux l'hiver dans tes bras.
Et que la burle recouvre nos pas.
Les histoires volées, partagées, suspendues. Ton souffle ardent comme seule chaleur.
J'veux l'hiver dans tes bras.
Et que l'on se perde à deux un peu plus.
L'immensité apaisante, redoutable, solitaire. Une montagne égarée que l'on prend comme alliée.
J'veux l'hiver dans tes bras.
Et que la musique ne s'arrête pas.