Ca me rassurait que tu sois là, c'était plus facile comme ça.
Impression virulente de stagnation.
Mardi 28 mai 2013 à 17:25
Ca me rassurait que tu sois là, c'était plus facile comme ça.
Impression virulente de stagnation.
Vendredi 24 mai 2013 à 9:38
J'ai plus envie de vivre derrière les projets des autres et la peur de l'échec...
Tu veux que j'te dise comment je la vois notre vie ?
Un jour tu me diras : allez c'est parti, de toute manière qu'est-ce qu'on a à perdre ?
J'veux te voir là devant ce mur en pierre pas vraiment tout jeune, devant cette vieille baraque et t'entendre dire : c'est chez-nous...
Y'aurait des prés tout autour, des coquelicots pour y faire l'amour...
Les herbes hautes et affriolantes déposeraient des goûtes de rosée sur notre peau au petit matin.
Les châtaigniers offriraient le coin d'ombre tant recherché lorsque le soleil daignera arriver.
Et ce doux bruit de nature, ce doux bruit de simplicité laissant parfois place au silence.
Le matin la traite m'attendrait, et le lait crémeux n'attendrait pas longtemps pour être transformé en fromage et déposé dans la cave.
Le potager rayonnant de milles couleurs nous offrirait de suaves parfums, et le goût de la terre pour nos repas.
Je te regarderai dans ta bergerie parlant à tes bêtes et ça sentirait bon le foin et la campagne.
Derrière la ferme, les soirs de fête et de printemps, il y aurait un grand chapiteau, avec des guirlandes à grosse ampoules de toutes les couleurs, on y poserait quelques bottes de paille pour s'asseoir, et des marguerites pour égayer les planches de bois servant de table. Et puis y'aurait les amis, ceux qui jouent de l'accordéon et du violon, des enfants qui vagabondent, y'aurait du théâtre et du spectacle !
Tu diras que j'me répète, et t'auras pas tort...
C'est juste que moi ce rêve, il me tient à coeur et je m'y évade tous les soirs dès que je ferme les yeux.'
Jeudi 23 mai 2013 à 11:08
Tu sais, je t'ai toujours dit que t'étais l'homme de ma vie, que je voulais vivre avec toi. Et c'était vrai, d'ailleurs si tu n'étais pas parti, on serait certainement encore enlacé à l'heure qu'il est, puisque te quitter n'a jamais été dans mes intentions.
Mais tu en as décidé autrement, et il a bien fallu que je me fasse une raison, on n’a pas qu'un seul homme dans sa vie, y'a pas qu'un grand amour, c'est de la connerie, des balivernes, des boutades comme tu dis.
La question c'est de savoir avec qui on veut être, peut importe que ça dure longtemps ou non, peu importe la fin, peu importe les lendemains. La question n'est pas de savoir qui est l'homme de ma vie mais quelle est cette personne qui arrive à me faire sourire dès le matin au réveil. Et cette personne ce n'était plus toi.
Il m'a fallu beaucoup de temps pour admettre tout ça, j'ai tout remis en question tu sais, moi-même, ma façon de penser, j'ai du laisser ma rancœur et ma haine de coté pour laisser venir le pardon...
J'ai de l'amour à revendre, et si toi tu n'en a pas voulu, lui a su s’en saisir.
Jeudi 2 mai 2013 à 15:38
Jeudi 2 mai 2013 à 15:37